QUI SUIS-JE?

Qui suis-je... Je suis une Endogirl tout simplement, comme elles , comme nous, une femme endométriosique, avec toutes la souffrance de la maladie et le quotidien infernal.

Je suis une femme et non pas une maladie, une femme amoureuse de la nature, de la vérité et prônant la justice où il se trouve l'injustice.

J'ai débuté en 2012 avec un premier groupe sur le réseau social Face book puis un plus important par la suite abordant la maladie et les médecines douces. Jusqu'au jour où j'ai pris la décision de faire les choses en plus grand et transférer, basculer, sur un site https://qu-est-ce-que-l-endometriose.webnode.fr/ en 2013. Toujours abordant la maladie , la vérité et les médecines douces. ( mon domaine premier étant la nature , les plantes ).

D'un naturel à aider et toujours en quête de compréhension quand je tiens un sujet. Cette maladie je la porte ( la vilaine et voleuse de vie) et pour moi il était et il l'est encore, essentielle que j'en comprenne le comportement, tellement elle se trouve complexe à tous niveaux, ainsi que ce qui englobe l'enfer qu'elle nous fait vivre.

C'est moche mais la réalité!

Là où il y a injustice je demande justice. Nous sommes dans cette société, et de par le monde , maltraités, c'est le mot. Comme pour pas mal de pathologies/souffrances nous sommes encore non reconnues alors que cette maladie est organique ( et disons auto-immune ) et qu'ils en connaissent le nom depuis 1765 par Tailford. Le premier symptôme ( la douleur intense) à été cité en 1779 par Hoctin, puis la maladie à été décrite par Carl Von Rokitanski en 1860 et ensuite en 1883 par Diesterberg, et en 1896 par Cullen. La première définition de l'endométriose fut en 1921 par Sampson.

Nous sommes en 2017 et on nous prend encore pour des imbéciles. Il existe trop peu de spécialistes formés à cette maladie, encore moins de radiologues formés à la lecture d'imageries médicales, le diagnostic est d'une longueur encore catastrophique. Avant de pouvoir obtenir le mot Endométriose , nous nous faisons traité de chochottes, douillettes, pleurnichardes, fainéantes, simulatrices et j'en passe. Maladie des femmes soit disant carriéristes alors qu'il en est rien. Nous dépensons d'examens en examens, de médecins en médecins, pour entendre que nous devons consulter un psychologue, où encore que cela vient du stress. Et pendant des années et des années d'une longueur agaçante la maladie fait d'énormes dégâts et certains irréversibles. En 2017, notre maladie n'est toujours pas reconnue, ni prise en charge correctement, avec une errance médicale horrible, des dégâts infectes, toujours aucunes formations spécifiques à la maladies pour les médecins, je remercie par contre les étudiants qui effectuent une thèse dessus, et pour finir toujours incurable. On nous raconte des absurdités énormes en disant que l'opération va nous guérir, la grossesse , les traitements hormonaux ou encore la fameuse ( ironie) hystérectomie vont nous guérir. Rien du tout, cela n'est que mensonge.

2017 je constate de plus en plus de cas sévères en stade 4, chez les très jeunes femmes et filles, depuis 2 ans environ. Rien n'est fait pour nous , ni l'entente, ni la compréhension, ni les soins comme ils se doit, ni la reconnaissances, ni nos droits.

2017 l'errance médicale reste encore, les silences imposés restent. L'horreur reste.

Depuis deux années, aujourd'hui j'entame la troisième, j'ai fais le Défi EndoMétriOSE. Pourquoi?

Pour tout cela, et pour démontrer que nous ne devons aucunement avoir honte de la maladie. La seule chose que nous ne choisissons pas dans la vie, c'est la maladie. On parle de tabou autour de l'endométriose , d'une histoire de règles, alors que cette maladie n'est pas une histoire de règles! La société encore sexiste nous impose le silence parce qu' il y a souvent le mot « règles » ou encore une histoire de bonnes femmes pleurnichardes qui ne devraient pas se plaindre. Mais ces femmes je le rappelle existent et pour bien faire dans ce monde, il faut bien une femme derrière. ON ne naît pas dans les choux!

Défi comme défier les gens et la maladie , ainsi que OSE comme oser car il le faut.

J'ose et je suis.

Voici trois sites , un pour la maladie, un pour les articles et un pour les médecines douces.

Les femmes endométriosiques sont toutes différentes à de différents stades et formes. Quoi qu'il en soit elles subissent non seulement la maladie qui est d'une violence telle...elles subissent les effets secondaires, ainsi que les séquelles irréversibles souvent, ainsi que les opérations multiples et complexes, et.... Ainsi que les préjugés indécrottables et infondés. Pour beaucoup l'isolement médical, mais social aussi. Le rejet de la famille telle une pestiférer et encore je crois qu'on serait encore mieux considérer. Beaucoup subissent cela par dessus la maladie comme s'il ne suffisait pas.

Je suis là depuis un moment et je continuerai car tout cela est inacceptable, et qu'il est hors de question que ces jeunes filles subissent le mal que nous subissons.


La vérité n'en déplaise...

Défi EndoMétriOSE                                 

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